Notes



Héroux, Georges-Félix ( °12 mai 1833 Yamachiche, Qc - †20 mars 1901 )

Georges-Félix était Architecte. Avec son frère Joseph ils bâtirent 117 églises tant au Canada qu'aux Etats-Unis. Ils ont eu jusqu'à une trentaine d'ouvriers à leur service. On les a même vus, ayant jusqu'à cinq églises en construction en même temps. Ils ont tous deux fait leur apprentissage en architecture chez M. Alexis Milette, frère de Benoni et Michel Milette, tous deux architectes. Alexis était le beau-père de Georges-Félix. Les frères Héroux furent les meilleurs élèves de ces maîtres renommés. Ils firent un stage d'études à Rome sur les techniques de construction de dômes hémisphériques à base circulaire. Aprè le décès des 2 frères en 1901, les héritiers ne tardèrent pas à réaliser que la succession comprenait un outillage très spécialisé mais à peu près invendable et que l'héritage ne leur permettait que de rembourser qu'environ 20 % des dettes qui s'élevaient pour les deux frères à 14 012,88 $. Il y a eu donc faillite en 1902. Trois des fils de Georges-Félix ont travaillé avec lui à la boutique soit: Albert, Edmond et Arthur.
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Héroux-dit-Bourgainville, Jean ( °1651 Blonville-sur-mer, Normandie, France - †30 novembre 1687 Trois-Rivières, Qc )

Jean est arrivé au pays avant 1672. Le 12 juin de cette année-là, il y tient une terre à rente de Claude Jutras à Trois-Rivières Le 13 août 1675, il lui rétrocède la terre qu'il détient de lui depuis ce temps. Son beau-père, Guillaume Pépin, le 25 août 1678, lui cède toutes les terres qu'il possède à Trois-Rivières, avec les bâtiments qui s'y trouvent, à condition qu'il les partage avec ses cohéritiers après son décès. Il lui cède également deux boeufs et une vache. Il s'engage de plus à faire valoir les terres, à entretenir les bâtiments et à verser chaque année à son beau-père vingt-cinq minots de blé et cinq minots de pois. Pour sa part, Guillaume Pépin lui fait construire une maison pour se loger, pareille à la sienne.
Le 23 février 1678, il fait l'acquisition d'une terre de trois arpents de front par quarante arpents de profondeur à Cressé, appartenant à Jean-Baptiste Chouart. Il la vend à Élie Prévost dit Laviolette, le 4 septembre 1678, au prix de 60 livres. Madeleine Benassis, veuve d'Étienne Seigneuret, lui concède, le 14 mai 1679, quatre-vingt-dix arpents de terre en superficie dans sa seigneurie de Tonnancourt (Pointe-du-Lac). Le seigneur Michel Cressé pour sa part lui concède une terre de trois arpents du front par quarante arpents de profondeur dans sa seigneurie, le 2 novembre 1679. Entre-temps, il en vient à une entente avec son beau-père au sujet du bail de sa terre. Ce dernier accepte que pour les travaux qu'il a réalisés sur ses terres, il lui soit payé en priorité après son décès, trente-six minots et demi de blé et sept minots et demi de pois, à moins qu'il ne préfère conserver et faire valoir ces terres pendant une autre année, avant d'en faire le partage avec les autres héritiers. Le travail ne semble pas le rebuter, car le 29 juin 1680, il promet au maître chirurgien Jacques Duguay de lui labourer et herser une terre avec deux boeufs ou quatre si nécessaire, moyennant 24 livres. Il quitte par la suite la terre de son beau-père, pour aller faire valoir, pendant trois ans, celle de Jean-Amador Godefroy à la rivière Sainte-Barbe. Il s'engage à payer la rente annuelle de 37 sols et 6 deniers, d'abattre trois arpents de bois à 15 livres l'arpent, de réparer la grange, ce pour quoi il reçoit 25 livres, et de construire une étable au bout de la grange. Il s'engage également, le 6 septembre de la même année 1680, à nourrir et à loger pendant deux ans Ursule Pépin, l'épouse de Nicolas Godefroy, ainsi que leur fille Madeleine Godefroy, moyennant 120 livres tournois par année. Malgré toutes ces obligations, le 24 décembre suivant, il accepte la concession de deux arpents de terre de front que lui fait Gilles Boivinet au fief de Sainte-Marguerite. Au recensement de 1681, il demeure sur la terre de Godefroy. Avec l'assentiment de son épouse, moyennant 250 livres le 30 avril 1683, il renonce, en faveur de son beau-frère Pierre Pépin, à toutes les prétentions qu'il peut avoir sur la succession de son beau-père Guillaume Pépin. Il fait transport, le 13 novembre 1684, à Étienne Veron de Grandmesnil de la somme de 100 livres que lui doit Pierre Pépin. Le 2 décembre suivant, Madeleine Benassis lui concède une terre de quatre arpents de front par vingt-cinq arpents de profondeur à Tonnancourt (Pointe du Lac). Elle lui en concède une autre, le 22 septembre 1686, mais il ne peut en profiter, car il décède à Trois-Rivières le 30 novembre 1687 et est inhumé le lendemain.
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Héroux-dit-Bourgainville, Jean-François ( °30 août 1683 Trois-Rivières, Qc - )

Jean-François, baptisé à Trois-Rivières, le 30 août 1683 et second fils de Jean et de Jeanne Pépin, est considéré comme l'un des premiers habitants de Nicolet. Il figure parmi les quelque trente censitaires de Jean-Baptiste Poulin de Courval, administrateur de la seigneurie après le décès de Louise Cressé sa première épouse. Celle-ci a trépassé depuis quelques semaines seulement lorsque le 11 mai 1706, de Courval concède à François une terre située dans le chenal nord-est de la rivière Nicolet, juste vis-à-vis cette de son cousin Antoine Pinard. Selon l'acte, François est déjà à cette époque, habitant de Nicolet. On ne sait au juste quel a été son sort car après cette transaction, on entend plus parler de lui.
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Héroux-dit-Bourgainville, Pierre ( °31 décembre 1727 Yamachiche, Qc - †16 mai 1780 Yamachiche, Qc )

Extrait du baptème de Pierre:

AUJOURD'HUY, jeudy premier jour de janvier de l'an mil sept cent vingt-huit avons baptisé sous condition avec les cérémonies de l'Église par moy prêtre missionnaire Récollet soussigné Pierre fils de Pierre Héroux dit Bourguinville et d'Angélique ses père et mère en légitime mariage né d'hier au soir. A été son parrain Pierre Héroux dit Bourguinville son ayeuil. La marraine Marguerite Benoist veuve de Élie Gélinas tous habitant de cette paroisse lesquels ont déclaré ne savoir écrire ny signe enquis suivant l'ordonnance. En foy de quoy j'ay signé les mêmes jour et marqué cy dessus
fr.Chérubin René
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Vincent, Pierre ( °11 mai 1718 Pigiguit, Acadie - )

Selon les différentes recherches sur le WEB, Genevièvre Boudrot (ou Boudreau) serait:
1 - Une des deux femmes de Pierre fils de Pierre et Marie Granger, l'autre étant Madeleine Babin
2 - La femme de Pierre fils de Pierre et Marie Granger. Il auraient est un enfant nommé Pierre qui aurait épousé Madeleine Babin
3 - Une des deux femmes de Pierre fils de Michel et Marie-Anne Richard

L'option 1 supporté entre autres par Bona Arseneault. Clément Vincent (aussi politicien) affirme qu'il a de solides informations qui favorisent l'option 2
L'option 2 est supporté par beaucoupd'autres auteur, entre autre par Jean-François Vincent dans son livre, c'est l'option que j'Ai favorisé ici
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Lainé-dit-Laliberté, Bernard ( °27 avril 1656 Chatelaudren, Bretagne, France - †24 octobre 1715 St-Jean-de-l'Île-d'Orléans, Qc )

Lainé dit Laliberté, Bernard, né en 1654 (rec. 1681) ou 1656 (DGFC) dans le bourg de Chatelaudren près de Saint-Brieuc (Cotes-du-Nord), du mariage de Guillaume Lainé et de Luce Léonard.
Le 14 mars 1679, Bernard Lainé passe un contrat de mariage avec Jeanne Norice devant le notaire Becquet de Québec. Jeanne est né en 1666, ses parent étaient Marin Nourrice et Antoinette Lamoureux.. Ce contrat sera annulé quelque temps après.
La même année, il épouse dans la région de Québec (acte et contrat perdus) Anne Dionne (née en 1665), fille d'Antoine Dionne et de Catherine Ivory.
Bernard Laine est agriculteur a l'Ile d'Orleans, paroisse de Sainte-Famille.
Le mariage de Bernard Laine eut certainement lieu a la fin de 1679 car le premier février 1680, il signe une convention avec son beau-père, Antoine Dionne devant le notaire Rageot. Bernard Laine décède avant 1697 a l'Ile-d'Orleans. (DGFC, vol. 1, p.339) (BRH, vol. 15, p. 116) var. du nom : Laisne et Lesnay (rec. 1681)
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